Un climat de peur règne dans le pays ce lundi 16 septembre, suite à une journée de tension qu’a connue le pays la veille et l’appel à la grève non revendiqué sur les réseaux sociaux pour forcer les autorités étatiques à prendre des mesures pour résoudre la crise du carburant.
Barbancourt
le rhum des connaisseurs
Tôt ce matin, des barricades de pneus enflammés ont été constatés dans plusieurs rues de la capitale, notamment à Delmas, Carrefour aéroport, Nazon, entre autres.
Les activités de transport en commun sont paralysées. Les braves gens qui occupent les rues pour vaquer à leurs occupations sont obligés d’aller à pied.
Face à cette situation, le porte parole adjoint de la PNH, Garry Desrosiers, a donné la garantie que l’institution policière prendra toutes les mesures afin de garantir la sécurité des vies et des biens de la population.
Le Premier ministre démissionnaire, Jean Michel Lapin, quant à lui, ne cesse d’annoncer l’arrivage d’une quantité importante de gazoline pour ce lundi 16 septembre, pendant que de nouvelles cargaisons sont attendues au cours de cette semaine.
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