Le ministère de la Santé publique et de la population a présenté ce mardi 21 novembre le rapport des Comptes Nationaux de santé pour la période allant de 2013 à 2014.
Dimunition de financement externe, paiements directs des ménages elevés , faible financement public, taux de chômage et d’inflation elevé sont parmi les points soulignés dans ce rapport.
Barbancourt
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La ministre de la Santé Publique et de la population a révélé la faible enveloppe budgétaire allouée à la santé soit un montant de 6%, ce qui ne permet pas de répondre aux exigences sanitaires de la population.
Tout en plaidant pour une révision à la hausse du montant alloué à ce ministère, Marie Greta Roy Clément a souligné une diminution du financement étranger.
En effet, sur 31 milliards de gourdes dépensés seulement 1, 4 milliars ont été consacrés à l’investissement.
Pour sa part, le Docteur Clément a jugé bon de souligner les dépenses qu’effectuent les ménages de l’ordre de 31% alors que le taux de chômage est galopant dans le pays.
Le ministre de la Planification et de la Coopération Externe se dit attristé par cette situation.
Prenant en compte la faible enveloppe budgétaire allouée aux systèmes sanitaires, Aviol Fleurant estime que ce système est relegué en arrière plan.
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