Éditorial :Traqué par la justice, Dimitri Vorbe invective des journalistes

Éditorial :Traqué par la justice, Dimitri Vorbe invective des journalistes

Depuis que la compagnie SOGENER est en mauvaise posture pour cause de corruption, l’un de ses propriétaires, Dimitri Vorbe, ne cesse de multiplier les tweets désobligeants qui mettent à nu sa frustration.

Dans un récent tweet, le vendeur de blackout a qualifié des journalistes de “sousou” (sous-fifres), vendeurs de micros, d’hommes dépourvus de colonne vertébrale. Le vocabulaire de l’homme d’affaires ne manque pas de propos dégradants, déshumanisants quand il s’agit de critiquer des travailleurs de la presse.

Par peur ou par méchanceté tout carrément, Dimitri Vorbe n’a pas cité nommément les journalistes auxquels il administre la douche froide.

Pourtant, c’est un secret de polichinelle que le responsable de la compagnie spécialisée en surfacturation tente souvent de corrompre des journalistes en leur faisant des belles offres financières, afin de défendre sa “mauvaise cause”.

Le tweet de Vorbe le fournisseur-corrompu d’électricité sue la déception. En effet, ce dernier semble s’être cassé le bec en essayant de s’acheter l’âme d’un journaliste, d’un média qui, par éthique, n’aurait pas voulu prêter le flanc à la corruption.

Seul un corrompu ou corrupteur déçu s’arogerait le droit de qualifier, sans ambages, des journalistes de “sousou” (sous-fifres), de vendeurs de micros ou d’hommes dépourvus de colonne vertébrale.

Comme un animal traqué, une sale bête blessée, depuis que Dimitri Vorbe est en plein démêlés avec la justice, ce dernier est devenu un homme dangereux dont les vociférations ne laissent pourtant pas indifférents les internautes qui ne ratent jamais l’occasion de lui donner la monnaie de sa pièce.

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