Encore une fois, la chance a été du côté de Jovenel Moïse. In extremis, le pouvoir a évité un nouvel épisode “Peyi lòk”.
Les opportunistes de l’opposition sclérosée s’apprêtaient à récupérer le mouvement des agents la PNH. La déception est monumentale. L’officieux SPNH a vu venir cette déviation politique morbide. Sa coordonnatrice a appelé au repliement de ses pairs.
Même si le grand perdant reste et demeure Haïti, il y a lieu de constater que, face à se opposants, le locataire du Palais national a la baraka.
Mais, pour éviter la reprise cynique des horreurs policières, le haut commandement de la PNH se doit de réintégrer les cinq agents mis à pied.
Loin d’être lâche, le geste sera courageux et aura pour effet d’éteindre l’envie de chaos de l’opposition, qui n’aura plus d’objet à son lugubre désir.
Et, le président de la République, Jovenel Moïse, a aussi son devoir à accomplir: le respect des promesses faites aux policiers.
D’un côté comme de l’autre, il faut éviter d’agir en pompier.
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