Dans une salle remplie de partisans, munis de pancartes arborant des propos discriminatoires à la Mairesse de Tabarre, Jean Yves Léonard a brièvement raconté sa rencontre avec Nice Simon qui était à l’époque serveuse dans un bar aux États-Unis, avant de donner sa version des faits sur ce qui s’est passé dans la nuit du 1er octobre 2018.
Yves Léonard, d’entrée de jeu, a fait remarquer qu’il n’est pas un criminel en montrant quelques photos du premier garçon de Nice Simon dont il est le beau père.
Pour revenir sur l’incident, Yves Léonard a précisé que dans la nuit du premier octobre 2018, sa compagne, Nice Simon, a reçu un appel très tard, c’est ainsi qu’il a voulu vérifier qui était à l’appareil avec sa concubine.
L’homme d’affaires raconte que son ex-compagne s’est déplacée de la chambre pour pouvoir répondre à l’appel.
Soudainement, explique M. Léonard, elle s’est revêtie et a pris la clé de sa voiture pour sortir.
C’est à ce moment que l’entrepreneur a tenté de prendre téléphone de la mairesse.
Nice Simon a refusé et l’a mordu, Yves Léonard confie avoir aussi mordu son ex-concubine.
Il a indiqué n’avoir à aucun moment asséné de coups à son ex-chérie.
”C’est faux”, a fait savoir Yves Léonard, sous les tonnerres d’applaudissements de ses supporteurs sans dire mots sur les hématomes visibles sur le corps de Nice Simon après la prise de bouche.
“Yves Léonard n’est ni criminel ni un protégé du pouvoir en place”, a-t-il précisé en réaction aux accusations des organisations féminines.
Il reconnaît avoir pris la fuite pour se protéger contre ce qu’il appelle une campagne de dénigrement qui s’abattait sur lui.
Il reproche aux organisations féminines et la Fédération nationale des maires d’avoir compliqué davantage cet incident.
Yves Léonard a demandé a ses proches de ne plus salir l’image de Nice Simon. Parallèlement, il invite les autorités judiciaires à mener à bien l’enquête ouverte sur cet incident.