Célébrée le 15 octobre, la journée internationale de la femme rurale est l’occasion pour différents acteurs, notamment ceux qui sont engagés dans l’humanitaire, de souligner l’importance des femmes et des filles rurales dans la question de la sécurité alimentaire dans le monde.
Barbancourt
le rhum des connaisseurs
« Si les femmes avaient le même accès aux ressources que les hommes, la production alimentaire augmenterait de presque 30%, ce qui pourrait entraîner 150 millions de personnes en moins souffrant de la faim au niveau mondial », selon les estimations de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et
l’agriculture (FAO).
Le FAO souligne qu’Haiti figure parmi les pays avec la plus grande inégalité de genre. Selon le rapport sur le développement humain du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), publié en 2020, qui indique que 26,9% des femmes adultes ont atteint un niveau d’éducation secondaire, contre 40% des hommes.
L’organisme international a également salué les efforts du gouvernement haïtien à travers le Ministère à la Condition Féminine et aux Droits de la Femme (MCFDF) qui travaille pour le droit des femmes et des filles à travers sa politique d’égalité Femmes et Hommes 2014-2034.
Le FAO encourage l’investissement dans les capacités des femmes et des filles rurales en vue de créer un environnement propice leur permettant de participer au même pied d’égalité que les hommes aux activités de transformation du monde rural.
Taux de change
Laisser un commentaire
Votre adresse électronique ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués d'un *