Table ronde au pavillon chinois lors de la COP30, à Belem, dans l’Etat du Para, au Brésil, le 11 novembre 2025. MAURO PIMENTEL / AFP Le destin de la trentième Conférence des parties sur le climat (COP30) est entre leurs mains et personne ne sait vraiment s’ils trouveront un terrain d’entente. Depuis le début de la

Le destin de la trentième Conférence des parties sur le climat (COP30) est entre leurs mains et personne ne sait vraiment s’ils trouveront un terrain d’entente. Depuis le début de la COP30, responsables européens et chinois affichent entre eux une confiance très mesurée. Certes, chacun défend le multilatéralisme environnemental et l’accord de Paris, mais sans jamais oublier ses propres intérêts.
Ding Xuexiang, le vice-premier ministre chinois, a répété qu’il fallait « supprimer les barrières commerciales et garantir la libre circulation des produits verts ». Une pierre dans le jardin de l’Union européenne (UE), qui tente de se protéger de la déferlante de batteries et de voitures chinoises. Emmanuel Macron a, lui, demandé d’élargir la base des contributeurs à la finance climatique. Une manière de rappeler à la Chine qu’elle doit assumer ses responsabilités en tant que premier émetteur mondial de gaz à effet de serre. « En coulisses, c’est encore plus froid », souligne un négociateur européen.
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