150 militaires guatémaltèques, âgés de 18 à 22 ans, dont 19 femmes, suivent actuellement une formation afin d’intégrer, en janvier prochain, la mission de sécurité des Nations Unies en Haïti. Ces soldats constitueront le prochain contingent de relève au sein de la Force de répression des gangs (FRG).
Selon l’Agence France-Presse (AFP), les militaires guatémaltèques, équipés de casques, de boucliers et de matraques, s’entraînent également à la gestion de manifestations. « Ils réalisent des exercices de combat rapproché dans le camp militaire Mariscal Zavala, situé à la périphérie nord de la capitale guatémaltèque, au cœur d’une végétation dense », a précisé le commandant du contingent, le colonel Luis Alfredo Sáenz.
Ce dernier a indiqué que l’ONU n’avait pas encore formulé de demande officielle pour augmenter la présence guatémaltèque en Haïti. « Mais si une telle requête devait être faite, cela démontrerait le grand engagement que nous avons, en tant que policiers militaires, à être des ambassadeurs en uniforme, des gardiens de la paix et des soldats de l’espérance pour le peuple haïtien », a-t-il déclaré.


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