Évasion de 4 détenus de la prison civile de la Croix-des-bouquets, la PHN explique

Évasion de 4 détenus de la prison civile de la Croix-des-bouquets, la PHN explique

C’est le détenu Mardochée Roger, condamné à perpétuité pour enlèvement, qui a planifié cette évasion survenue dans la nuit du 6 au 7 juin à la prison civile de la Croix-des-bouquets.

D’ailleurs, les autorités judiciaires le considèrent comme un dangereux criminel.

Barbancourt

le rhum des connaisseurs

Doxy Jocelyn, Beland Daniel dit ti Delmas et
Georges Rodrigue, ont suivi Mardoché Roger qui était en détention préventive prolongée, dans cette évasion sont actuellement en cavale.

Tandis que le concepteur, Mardoché Roger, a été appréhendé rapidement par des agents de la police nationale.

Mardoché Roger a scié une barre de fer dans sa cellule pour pouvoir s’evader. Les 3 autres qui ont testé le coup se sont échappés et lui il a été récupéré par les forces de l’ordre, rapporte le porte-parole de la PNH, le commissaire divisionnaire Frantz Lerebours.

Le soir de l’évasion il n’y avait aucun agent en poste au Mirador.

Les premières informations recueillies par la direction générale de la police nationale avaient fait croire que les détenus se sont évadés de la prison par une bouche d’égout.

Tandis que c’est évident dans la construction d’une prison il n’est inscrit nulle part qu’un égout donne accès à la grande porte, de l’avis du commissaire divisionnaire Frantz Lerebours.

Une enquête est ouverte au niveau de l’inspection générale de la PNH en vue de faire la lumière sur cette évasion.

Par ailleurs, le porte-parole de la police nationale a annoncé que les forces de l’ordre ont procédé à l’ arrestation d’une dizaine de présumés bandits, lors des opérations menées dans divers départements entre le mois de mai et le début du mois de juin. Plusieurs armes à feu et des cartouches ont été également saisies.

Ces présumés bandits sont accusés d’associations de malfaiteurs, vol à main armée, détention illégale d’armes à feu, usage illicite de stupéfiant et assassinats.

Laisser un commentaire

Votre adresse électronique ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués d'un *