Dans une correspondance adressée au Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire, l’ancien commissaire du gouvernement somme le CSPJ de rectifier son rapport d’enquête administrative dans lequel il est accusé de détournement et de corruption.
En effet, à la requête du concerné, la CDPJ est appelée à instruire, dans un délai de 5 jours, le bureau du secrétariat de la commission technique de certification à revoir son enquête. Faute de quoi, les membres de la commission seront poursuivis pour diffamation.
L’ancien commissaire rejette ainsi, le rapport d’enquête de la commission technique de certification (CTC) du CSPJ, et le qualifie de manoeuvre frauduleuse visant à ternir son image.