En Espagne, des rassemblements doivent se tenir ce soir, un mois après les inondations qui ont fait au moins 227 morts. Un phénomène aggravé par le dérèglement climatique. Dans la région de Valence, les autorités s’attèlent à la gestion de plus de 100 000 voitures détruites dans les intempéries. Le chef de l’exécutif régional, Carlos Mazón, très critiqué pour sa gestion des inondations, a présenté ses excuses mais refuse de démissionner.
En Espagne, des rassemblements doivent se tenir ce soir, un mois après les inondations qui ont fait au moins 227 morts. Un phénomène aggravé par le dérèglement climatique. Dans la région de Valence, les autorités s’attèlent à la gestion de plus de 100 000 voitures détruites dans les intempéries. Le chef de l’exécutif régional, Carlos Mazón, très critiqué pour sa gestion des inondations, a présenté ses excuses mais refuse de démissionner.
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