Renforcement des capacités de la PNH: un lot de matériels arrive à P-Au-P

Renforcement des capacités de la PNH: un lot de matériels arrive à P-Au-P

Tard dans la soirée du vendredi 21 février, le président de la République, Jovenel Moïse, accompagné du Premier ministre démissionnaire, Jean Michel Lapin, des responsables de la Police nationale d’Haïti et de FADH, a reçu un important lot d’équipements pour les forces de l’ordre.

Barbancourt

le rhum des connaisseurs


Pour renforcer les capacités des forces de l’ordre, l’acquisition de ces blindés est un pas franchi en vue d’une meilleure efficacité des policiers dans l’exercice de leurs fonctions, a laissé entendre le président Jovenel Moïse qui intervenait à l’aéroport de Toussaint Louverture. Ainsi, les policiers sont mieux armés pour faire face aux bandits qui sèment le deuil dans la population, estime le locataire du Palais national.

Dotée de matériels adéquats pour faire face aux bandits, la Police nationale d’Haïti (PNH) qui réclame de meilleurs conditions de vie va-t-elle pouvoir véritablement freiner la montée de l’insécurité dans le pays ?

2 commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse électronique ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués d'un *

2 Commentaires

  • Dukens aristal
    22 février 2020, 10:39

    Ala ti peyi ka pase moun nan tenten sa lapolis fè hmmv a

    REPLY
  • Antoine Langomier
    23 février 2020, 03:06

    Les BLINDÉS seront d’une grande utilité, mais bien avant, il faut mettre les importateurs d’armes qui n’avaient aucune autorisation hors d’état de nuire. Je me réfère à l’ancien directeur de la PNH, Michel-Ange Gédéon, "il a déclaré à qui voulait l’entendre que ceux qu’il lui importait le plus de contrôler, ceux qui étaient les plus nuisibles à la sécurité publique, ce sont ceux qui usent de leur pouvoir et de leur statut pour ravitailler, en armes et en munitions, ces bandits qui tuent sans état d’âme." C’était en juillet 2019.
    Les voyous à cravates ont été identifiés par le président Jovenel Moise. En amont.

    La collision de l’État avec les cercles mafieux sont souvent très dangereux. Il met quel que soit le dirigeant dans l’impossibilité d’être réellement le Garant des institutions. Il est obligé de livrer les secteurs clés du pays à tel ou Clan de l’Oligarchie. Tel Clan contrôle l’électricité et, tel autre Clan s’empare des ports.

    Les "pouvoirs d’État" doivent cesser de Flirter avec les BANDITS à CRAVATES (ceux qui font venir des ARMES illégalement dans le pays) et les Désoeuvrés/Gangs des Bidonvilles (par la faute de l’État oligarchique); à ce moment, la PNH sera en mesure de freiner la montée de l’insécurité dans le pays. Comme un connaisseur en Sécurité Intérieur de L’État (Keiser University et Université des Sciences Sociales), la Sécurité n’est pas une affaire de la toute puissance de nouveaux "Blindés." Loin de là!

    Dans le cadre d’un État non Oligarchique, en moins de deux semaines les CAIDS et Consorts, peuvent remettre leurs armes dans le Commissariat le plus proche de leurs zones ou son contraire. L’État n’est pas une affaire de kokorats, de jouisseurs, de "bandit légal," de voleurs et de petrovoleurs.

    Gade yon peyi kap gaspiye poutèt manke MOUN tout bon ak bon jan Patriyòt nan tèt enstitisyon yo. Nan 34 lane Nan Lib ki pase yo, sèl pwezidan Lesly François MANIGAT te yon Patriyòt. Se domaj, FO militè yo pat konprann anyen nan anyen. Papa DOC te nan pran LANG ak Boujwa Sansal la, men li te simaye Magazen Leta pou "Analfabèt pa bèt" ak TÈT KODÈN yo. Men bon jan sak pa kontan Anbake…

    L’Observatoire des Questions Nationales et Internationales

    REPLY