Plusieurs institutions publiques dont une partie de la mairie, le bureau de l’Office National d’Assurance-Vieillesse (ONA) se sont révéillées sous les flammes. Des barricades ont été également dressées à l’entrée de l’Hôpital Universitaire de Mirebalais.
Une situation de grande tension règne à Mirebalais, ce lundi matin.
Cependant, aucun groupe ne revendique ce mouvement violent qui paralyse l’entrée de la ville dans le plateau central.
Selon certaines informations, des tirs nourris d’armes automatiques ont été entendus durant la nuit du dimanche 17 janvier.
1 comment