Violence policière: la FJKL dénonce le retour aux anciennes moeurs

Violence policière: la FJKL dénonce le retour aux anciennes moeurs

Dans un note de presse publiée mercredi soir, la FJKL dénonce le comportement des policiers qui ont saboté les locaux de son président, Me Samuel Madistin, en vue de contester la position de l’organisation par rapport à la méthodologie utilisée pour faire passer leur revendication.

Barbancourt

le rhum des connaisseurs

« La FJKL juge totalement inacceptable le recours à la force armée, en 2020, pour imposer ses idées et s’opposer aux idées contraires à la position dominante », lit-on dans cette note de presse.

La fondation assimile ces actions à des manoeuvres visant le retour à l’ancien régime.

FJKL informe qu’elle ne se laissera pas intimider. Elle continuera sa mission qu’est d’œuvrer en faveur du renouvellement d’un Etat-Nation basé sur le respect des principes démocratiques.

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  • Antoine Langomier
    20 février 2020, 12:20

    La fondation a perdu sa route. A quel ancien regime fait-il reference? Depuis 34 ans, baby Doc n’est pas sur la scene politique. Au contraire, ce sont les amis et allie’s politiques de cette fondation qui avaient donne’ le Signal d’eliminer tous ceux qui ne partagent pas leurs visions politiques "Shithole".

    FJKL fait semblant d’oublier les noms de tous ceux qui sont implique’s dans l’assassinat des compatriotes Marie Christine Jeune, Jean Leopold Dominique, Antoine Leroy, Jacques Florival, Brignol Lindor …et Jimmy Lalanne. La liste est longue.

    Au contraire, ceux qui ont incendie’ le Cabinet d’avocat de Me Samuel Madistin ne sont pas aussi mechants comne les assassins de Jean Leopold Dominique….et Orien Jean. Ils ont donne’ du temps a’ Me Madistin de s’enfuir. Le journaliste JL Dominique… et le pasteur Antoine Leroy n’avaient pas cette chance.

    L’Observatoire

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