Dans l’affaire des trois conseillers impliqués dans le scandale de la Banque Nationale de Crédit (BNC), un silence pesant s’installe. Ces hauts fonctionnaires se barricadent derrière l’immunité et la protection offerte par la présidence, refusant de démissionner, non pas par sens du devoir, mais dans le but d’échapper aux poursuites judiciaires qui pourraient découler de cette affaire. Loin d’affronter la justice, ils semblent prêts à se cacher derrière les hautes sphères de l’État, une stratégie qui non seulement ternit la présidence elle-même, mais soulève des interrogations sur le véritable rôle de l’immunité dans ce contexte.