Quand l'amour devient sacrifice et désillusion, Gaspard Dorélien raconte son plus grand chagrin
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- 11 octobre 2024
Ivan (Mark Eydelshteyn) et Anora (Mikey Madison), dans « Anora », de Sean Baker. AUGUSTA QUIRK/LE PACTE Tout ce qu’Hollywood ne veut plus voir se vit dans le cinéma de Sean Baker. Son œuvre, déjà riche de huit longs-métrages, dresse de lucides constats qu’on ne trouve plus ailleurs, tant le cinéma américain est devenu malade de son
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