Quand l'amour devient sacrifice et désillusion, Gaspard Dorélien raconte son plus grand chagrin
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- 11 octobre 2024
Gabriel Attal, à l’Elysée, le 23 août 2024. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE » Jamais Gabriel Attal ne prononce le mot tabou. L’élection présidentielle de 2027 est, jure-t-il, encore trop lointaine pour occuper son esprit. L’évoquer, même du bout des lèvres, est, à ses yeux, « prématuré », dit-il. Ce mercredi 30 octobre, lorsqu’il échange par téléphone avec
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