Le nouveau président du Conseil présidentiel de transition (CPT), Laurent Saint-Cyr, a annoncé ce lundi 11 août, via son compte X, une rencontre avec l’ancien président Jean-Bertrand Aristide. Il souligne que cette rencontre s’inscrit dans l’esprit de dialogue et d’unité nationale qu’il s’est engagé à promouvoir lors de son discours du 7 août, date à laquelle il a officiellement pris les commandes du CPT.
READ MOREL’économiste Etzer Emile estime que Jean Bertrand Aristide ne possédait pas les aptitudes nécessaires pour diriger Haïti, malgré sa popularité historique. Selon lui, l’ancien prêtre et leader charismatique a été propulsé au sommet de l’État essentiellement grâce à ses discours incisifs contre le régime en place à l’époque, plutôt que pour ses compétences en gestion politique.
READ MOREDans un communiqué, le Bureau de communication du Premier ministre Alix Didier Fils Aimé a présenté les principales décisions prises lors du Conseil des ministres tenu le vendredi 8 août 2025, en séance spéciale, sous la présidence de Laurent Saint-Cyr, Président du Conseil Présidentiel de Transition.
READ MOREFritz Alphonse Jean n’a visiblement pas digéré la fin de son mandat à la tête du Conseil présidentiel de transition (CPT), conformément au principe de rotation. Mais plutôt que de partir avec dignité, l’ex-président du CPT a choisi la bouderie, il a brillé par son absence lors du tout premier Conseil des ministres dirigé par son successeur.
READ MOREC’est donnant-donnant. En août 2025, face à la décision du président Donald Trump d’imposer une hausse des droits de douane allant jusqu’à 25 % sur certains produits indiens, notamment l’acier et les textiles, New Delhi a riposté en suspendant plusieurs projets d’achat d’armes américaines, représentant plus de 3 milliards de dollars. Un geste fort, notamment sur des contrats d’hélicoptères et de systèmes de défense, qui montre que l’Inde entend faire valoir son poids dans ce bras de fer commercial.
READ MOREDès son arrivée à la tête du Conseil présidentiel de transition (CPT), le 7 mars 2025, Fritz Alphonse Jean, succédant à Leslie Voltaire, s’est présenté comme un rempart contre l’anarchie. Il a brandi un « budget de guerre », promis le recrutement de 3 000 policiers et militaires, et revendiqué une offensive contre la corruption, le tout enveloppé de formules pompeuses, mais vides de substance. Cinq mois plus tard, le constat est implacable rien n’a changé. La violence persiste, l’État demeure impuissant face aux gangs armés, et les promesses de réforme semblent nées d’un verbe creux, sans le moindre effet tangible.
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