Cette citation est l’un des 12 points évoqués par le Secrétaire au Conseil des ministres pour expliquer sa compréhension du dossier PetroCaribe.
Il dit juger au prime à bord plus que normal en démocratie que des citoyens s’intéressent à la gestion de la chose publique, questionnant l’utilisation qui a été faite des fonds PetroCaribe.
Cependant, Rénald Lubérice qui dit parler en tant que citoyen avisé estime que ”beaucoup de citoyens, frustrés ne sont pas intéressés à savoir les faits mais plutôt à conforter l’opinion qu’ils s’étaient déjà faite, (sur le dossier petrocaribe), ce qui peut constituer un handicap à une saine et équitable distribution de la justice, au profit de la vérité, rien que la vérité”, écrit-il ajoutant que les citoyens ont le droit de demander des comptes. Les pouvoirs publics ont le devoir de répondre.