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  • État d’urgence sur tout le territoire en Haïti

    État d’urgence sur tout le territoire en Haïti0

    En Haïti, le Conseil présidentiel de transition instaure l’État d’urgence sur tout le territoire, pour un mois, à partir de dimanche. Alter Presse précise que l’objectif est de « faciliter les diverses interventions des forces de l’ordre dans la lutte contre l’insécurité et faire face à la crise agricole et alimentaire du pays ». Le Nouvelliste revient d’ailleurs sur l’impact de l’insécurité sur l’économie et l’agriculture dans le département de l’Artibonite. Le quotidien cite l’entrepreneur Garry Dalencourt qui s’exprimait jeudi dans l’émission Panel Magik : les agriculteurs peinent à accéder aux semences et aux engrais, la production agricole est en chute libre, « exacerbée par l’isolement causé par les activités des gangs ».Illustration de cette insécurité : le saccage de l’hôpital Bernard Mevs à Port-au-Prince, incendié en début de semaine par les gangs. Cet hôpital de référence était connu pour avoir les technologies d’imagerie médicale les plus performantes d’Haïti, aujourd’hui tout ou presque est parti en fumée : le laboratoire, la salle d’imagerie, la pédiatrie… Kathleen Séjour Petit, administratrice générale de l’hôpital Bernard Mevs, se dit « choquée, anéantie », particulièrement pour ce qui est de la pédiatrie : « Quand on voit les enfants qui sont vraiment défavorisés, qui n’ont pas vraiment d’endroit où aller… » Et l’administratrice de souligner que l’hôpital était une grande référence pour tous les malades, et qu’il n’y avait aucune discrimination, « qu’il soit bandit ou honnête homme, la bourgeoisie, les défavorisés ». Les 289 employés, qui étaient restés pour cette raison, souligne-t-elle, n’ont plus d’emploi.À lire aussiHaïti : les gangs armés ont incendié l’hôpital de référence de Port-au-PrinceUn Conseil national de sécurité« Enfin », soupire Le National, un Conseil national de sécurité a été établi en Haïti – il était prévu dans l’Accord du 3 avril. Ce nouvel organe, explique la Primature, « composé d’experts nationaux, de professionnels de la diaspora et d’autres personnalités qualifiées, aura pour mission d’apporter des réponses globales et coordonnées à la crise sécuritaire ».« Le Conseil présidentiel de transition et le gouvernement du Premier ministre décident de beaucoup de choses et procèdent à des nominations », estime Frantz Duval dans Le Nouvelliste. Mais pour le moment, dans les faits, « rien n’impacte la vie de la population » : « Le pays vit avec d’un côté ceux qui prennent des coups et de l’autre ceux qui ne parviennent pas à les aider. »Le National relève d’ailleurs que les camps de déplacés se multiplient à Port-au-Prince, après les attaques par les gangs de Poste Marchand et Bas Lalue – qui ont contraint des milliers de familles à quitter leurs demeures. Et dans ces camps, « les conditions de vie sont lamentables », ce qui, se désole le quotidien, « contribue à aggraver la souffrance des déplacés ».« Shutdown » en vueAux États-Unis, le chef de la majorité républicaine a tenté de faire passer un nouveau texte pour éviter une paralysie de l’État fédéral, mais qui incluait la demande du président élu Donald Trump de relever le plafond de la dette. Il a été rejeté largement, parce que, écrit le New York Times, trente-huit députés républicains « ont défié Trump » en ajoutant leurs voix à celles des démocrates, dans ce que le quotidien considère comme un test de « l’emprise du président élu sur son parti ». D’autant que cette défiance n’est pas venue des quelques républicains modérés, mais bien de conservateurs qui normalement alignent leurs vues sur les siennes. On verra l’an prochain s’il s’agit d’un simple hoquet ou si c’est tout le programme du président qui est en danger – car rappelle le New York Times, « il suffira d’une poignée de républicains pour couler son agenda à la Chambre ou au Sénat ».En tout cas, cette bataille autour du budget montre l’influence d’Elon Musk sur le gouvernement, estime USA Today, qui titre même sur le « président élu Musk ». Car c’est bien le patron de Tesla qui s’est attaqué le premier, et très violemment, à la première mouture du projet de loi de financement, « la noyant sous un tsunami de plus de 100 posts », et ce, douze heures avant que Donald Trump lui-même n’intervienne. Pour le Washington Post, cet épisode « souligne les ramifications politiques du rôle sans précédent que Musk a joué dans l’élaboration de l’administration Trump. Il s’est prononcé sur les choix de ministres, a participé à des réunions avec des chefs d’État et agit désormais en tant qu’exécutant de l’agenda politique de Trump au Capitole. »À lire aussiLes États-Unis se rapprochent de la paralysie budgétaire après l’échec d’un nouveau texteVague de licenciements en ArgentineEn Argentine, Javier Milei continue de passer l’État à la tronçonneuse… Le ministère de la Justice a annoncé le licenciement de 2 400 employés, qui s’ajoutent aux 35 000 fonctionnaires licenciés depuis le début de l’année. Ce jeudi, les syndicats de la fonction publique avaient appelé à la mobilisation en face du ministère de la Justice. Le correspondant de RFI Théo Conscience a rencontré certains des manifestants, comme Mariano, qui a appris cette semaine qu’il était licencié sans indemnités : « Nous sommes des pères et des mères de famille, nous avons des enfants et nous allons nous retrouver sans revenu le mois prochain. Donc, nous demandons que la loi soit respectée et que nous recevions une juste indemnisation. » Paula Donadio, déléguée syndicale, souligne de son côté que les politiques publiques et les services assurés par le ministère de la Justice vont être également affectés : « Les espaces de mémoire de la dictature, l’assistance juridique aux victimes de violation des droits humains, l’accès à la justice… »À lire aussiArgentine : mobilisation des fonctionnaires de la Justice face aux coupes budgétaires de Javier MileiExtorsions en ÉquateurOn l’appelle « la vacuna » en Équateur, le « vaccin » : il s’agit de l’extorsion pratiquée par des criminels – racket d’individus ou d’entreprises. Le phénomène, qui s’est étendu dans ce pays d’Amérique latine, touche toutes les catégories de population. Notre correspondant en Équateur Eric Samson a contacté Mauricio Nuñez, un des chanteurs de musique romantique les plus populaires en Équateur. « La première fois », explique-t-il, « on a accepté de payer. La deuxième, on a porté plainte auprès du parquet et ils ne nous ont plus contactés. Ils demandaient 1 000 dollars par mois ». Les villes de la côte sont particulièrement touchées : à Guayaquil, les gens doivent parfois payer pour le simple fait d’avoir une maison. Victor Pinta a une épicerie dans le sud de la ville depuis près de neuf ans. Il a décidé de ne pas payer et de témoigner : il est constamment menacé et a été attaqué à plusieurs reprises.D’autres préfèrent quitter le pays, comme cette jeune femme partie pour les États-Unis. Elle a dorénavant moins de travail et de ressources qu’en Équateur.À lire aussiÉquateur : l’extorsion, la «vacuna», l’autre raison qui pousse la population à émigrerLe Journal de la 1èreLa Martinique continue de perdre des habitants

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  • Canada: le gouvernement Trudeau «en position de faiblesse» face à Trump

    Canada: le gouvernement Trudeau «en position de faiblesse» face à Trump0

    Et si le Canada devenait le 51e État américain ? Le président américain élu Donald Trump est ravi de répéter cette boutade alors que le gouvernement de Justin Trudeau est en pleine crise. Lundi, Chrystia Freeland a lancé une véritable bombe en démissionnant avec fracas de son poste de ministre des Finances. Officiellement, la numéro 2 du gouvernement protestait contre la suspension d’une taxe décidée par le Premier ministre. Une mesure électoraliste à ses yeux, alors que le Canada a particulièrement besoin de ses fonds publics pour soutenir les entreprises, menacées par des droits douaniers américains de 25%. Depuis, plusieurs députés réclament le départ de leur chef, ce qui entraînerait la chute du gouvernement. Pour l’instant, le Premier ministre ne répond pas aux questions des journalistes. Tout semble indiquer qu’il joue la montre à l’approche des fêtes, analyse notre correspondante Pascale Guéricolas. Justin Trudeau pourrait annoncer son départ et donc le déclenchement d’une campagne électorale en janvier. « Pendant ces 36 jours minimums de campagne, il ne peut y avoir de négociation avec les Américains. On est en position de faiblesse », déplore Geneviève Telier, politologue à l’Université d’Ottawa. Donald Trump a menacé d’imposer des tarifs douaniers sur les exportations canadiennes, si la frontière n’est pas sécurisée. Trois quarts des exportations du pays partent aux États-Unis.À lire aussiCanada: la vice-Première ministre démissionne sur fond de désaccord avec Justin TrudeauShutdown, le retourPendant ce temps, à Washington, le spectre du « shutdown », autrement dit l’arrêt de l’administration faute d’accord sur le budget, ressurgit. La faute en partie à un homme, Elon Musk. C’est lui qui « s’est déchaîné toute la journée [de mercredi] contre le projet de loi, sur sa plateforme X », relate le New-York Times. Pour lui, comme pour une large frange du parti républicain, c’était « un projet de loi rempli de priorités politiques démocrates », précise le Washington Post. De quoi enrager le sénateur de gauche Bernie Sanders qui rappelle dans The Hill que démocrates et républicains ont passé des mois à négocier ce texte et que « les milliardaires ne doivent pas être autorisés à diriger notre gouvernement ». Pour le journal de gauche Mother Jones, Donald Trump est en train de constituer un gouvernement de milliardaires comme les États-Unis n’en ont jamais vu. « En tout, quinze milliardaires seraient en lice pour des postes au sein de l’administration », estime Mother Jones.À lire aussiAux Etats-Unis, Donald Trump ravive la menace d’un «shutdown» fédéralPort-au-Prince et les autorités passeront-elles l’hiver ?La fin d’année approche et le quotidien Le Nouvelliste se demande « qui, de Port-au-Prince ou du CPT, ne passera pas l’hiver ». « La capitale est prise d’assaut par les gangs, quartier après quartier », déplore le rédacteur en chef Frantz Duval. Les autorités ne sont pas en reste. « Les membres du Conseil présidentiel de transition sont accusés de mener une transition qui ne va nulle part, certains membres sont pointés du doigt pour des affaires de corruption et surtout, des partis dénoncent le Conseil lui-même », énumère notre confrère. Une lueur d’espoir provient de Washington où se joue dans les prochaines heures le renouvellement de la loi dite “HOPE/HELP” au Congrès. Elle est vitale pour l’industrie locale et les quelques emplois, certes précaires, qu’elle génère sur l’île. « La principale exportation d’Haïti, c’est la sous-traitance des usines, dont le principal marché sont les États-Unis où près d’un milliard de dollars de biens manufacturés sont expédiés », explique Frantz Duval.« Dollarisation partielle » à CubaUne petite révolution à Cuba. Le gouvernement annonce le rétablissement d’un taux de change « flottant » pour le peso. Une nouvelle tentative pour le régime communiste au pouvoir depuis 65 ans de sortir l’île de la crise économique dans laquelle elle s’enfonce. Sur un an, les prix ont encore augmenté de près de 30 % en octobre, une « inflation alimentée par le décalage entre le taux de change officiel fixé à 120 pesos pour un dollar et la réalité du marché informel où il faut 320 pesos pour obtenir un dollar », explique Nathanaël Vittrant du service économie de RFI. Le Premier ministre cubain a « reconnu que la situation était devenue hors de contrôle », rapporte le média en ligne Cibercuba. Loin de nier la situation critique de l’économie, le quotidien pro-régime Granma insiste quand même sur les « limites imposées par le blocus américain et les effets néfastes de la crise économique mondiale ».À lire aussiCuba va mettre en place un taux de change flottantL’actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreEn Martinique, le président de la collectivité territoriale s’impatiente et demande au nouveau Premier ministre de tenir la parole de l’État.Morceau musical : For the Time Being du Groupe La Comitiva (Suède)

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  • Pérou: «Noël, loin du Venezuela, ce n’est pas pareil»

    Pérou: «Noël, loin du Venezuela, ce n’est pas pareil»0

    En cette Journée internationale des migrants, direction le Pérou où un million de Vénézuéliens ont trouvé refuge. Malgré l’instabilité politique qui n’épargne pas ce pays d’accueil, ONG et organisations humanitaires tentent de « recréer du lien ». Au Venezuela, le bras de fer continue entre le président Nicolas Maduro, dont la victoire aux élections de juillet dernier n’est pas reconnue par de nombreux pays (dont les États-Unis) et l’opposition qui revendique la victoire. Pas de quoi envisager le retour pour les huit millions de Vénézuéliens qui ont quitté leur pays depuis plus d’une décennie. Au Pérou, où un million ont trouvé refuge, notre correspondant Martin Chabal est allé à la rencontre de certains d’entre eux. Protection devant la loi, défense des droits, notamment à la santé, l’ONG Veneactiva accompagne ces réfugiés, y compris dans leur intégration, aussi bien socio-économique, politique que culturelle. Pas une mince affaire, surtout depuis la pandémie de Covid-19 et le début de la crise politique. Le sentiment d’éloignement est plus cruel pour ses réfugiés quand viennent les fêtes de Noël. Aux sons d’un orchestre dans un théâtre de Lima, José Verdu, téléphone à la main, tente de rassurer sa tante restée au pays. Malgré les applaudissements et les sourires, la douleur est là. « Partager tout ça à distance, ça fait un vide, ce n’est pas pareil », souffle l’homme qui se souvient avec émotions des Noëls passés dans son pays d’origine.En Haïti, des institutions médicales « à genoux »À Port-au-Prince, comme une volonté de mettre les institutions médicales du pays à genoux, les gangs armés de la coalition « ViV Ansanm » ont incendié dans la nuit de lundi à mardi l’hôpital Bernard Mevs. Hôpital de référence, c’était un des rares centres médicaux encore en fonctionnement dans la région métropolitaine de Port-au-Prince. Indignée, l’Association médicale haïtienne (AMH) exige que l’État prenne ses responsabilités. « L’État doit prendre en charge les institutions qui sont encore fonctionnelles, qu’il s’agisse des institutions sanitaires ou administratives », estime son secrétaire général, Dr Ardouin Louis Charles au micro de notre correspondant Peterson Luxama.Pour notre confrère Frantz Duval du Nouvelliste, c’est là « un remake de ce qui s’est déjà produit contre une trentaine de centres de santé et éléments de la chaîne de soins de la région de Port-au-Prince ».Aux racines des tensions entre Haïti et la République dominicaineLa situation sécuritaire toujours plus critique en Haïti n’a cessé de tendre les relations entre les deux pays partageant l’île d’Hispaniola. Le président de la République dominicaine, Luis Abinader, a décidé l’an dernier de fermer la frontière avec son voisin. Depuis octobre, il est déterminé à expulser en masse les migrants haïtiens. 500 000 vivraient côté dominicain. Pour comprendre à la fois la méfiance qui perdure de chaque côté de la frontière et la migration haïtienne vers la République dominicaine, il faut faire un peu d’histoire. En cause, entre autres, le basculement historique récent qui veut qu’Haïti, l’ancienne force occupante de la République dominicaine, ait perdu sa mainmise économique, explique le journaliste Jean-Michel Caroit au micro de Christophe Paget. L’objectif du président dominicain d’expulser 10 000 Haïtiens par semaine vise ainsi à « satisfaire des groupes nationalistes xénophobes », selon Christian Girault, chercheur au CNRS. Une partie de la presse dominicaine favorise ce climat. Le Premier ministre haïtien Alix Didier Fils-Aimé a récemment demandé à son nouveau ministre des Affaires étrangères de renouer le dialogue avec la République dominicaine. Ce que Luis Abinader a salué, tout en prévenant que les expulsions se poursuivraient.L’actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreEn cette Journée internationale des migrants, la « Cimade-Guadeloupe » dénonce des « pratiques abusives » et des expulsions systématiques, notamment vis-à-vis des Haïtiens.Morceau musical : Map Kitew de Krezboy Haiti feat Roumie (Haïti)

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  • «Vive le Venezuela libre!»: à Strasbourg, le cri du cœur d’Edmundo Gonzalez Urrutia

    «Vive le Venezuela libre!»: à Strasbourg, le cri du cœur d’Edmundo Gonzalez Urrutia0

    Dans son discours de réception du prix Sakharov, l’opposant vénézuélien en exil s’est livré à un plaidoyer pro-démocratie en forme de défi lancé à Nicolas Maduro. Edmundo González Urrutia avait été distingué à la fin du mois d’octobre par l’Union européenne, en compagnie de Maria Corina Machado, l’autre grande figure de l’opposition vénézuélienne, en raison de leur combat incessant pour les droits de l’homme. À Strasbourg, en présence de la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola, il a pris la parole pour rappeler l’engagement des Vénézuéliens en faveur de l’État de droit : « Ce prix incarne un très riche héritage historique. Cette distinction m’engage d’une manière très spéciale, face à la mémoire de ceux qui m’ont précédé en la recevant, tels que Nelson Mandela, Alexander Dubček, Alexeï Navalny ou les dissidents cubains Oswaldo Payá et Guillermo Fariñas. Permettez-moi de l’accepter avec humilité au nom du peuple vénézuélien, qui incarne véritablement l’esprit de ce prix, en reconnaissance de sa lutte courageuse pour restaurer la liberté et la démocratie au Venezuela. Ce prix qui nous est remis à Maria Corina et à moi-même, non seulement nous conforte dans notre engagement, mais il symbolise aussi l’unité entre les démocrates dans le monde. Le Venezuela compte sur vous, parce que la lutte pour la liberté et la démocratie chez nous est aussi la lutte pour ses valeurs sur toute la planète. Vive le Venezuela libre ! »À lire aussiLe prix Sakharov décerné aux opposants vénézuéliens Maria Corina Machado et Edmundo Gonzalez UrrutiaOpérations antigang de la police nationale haïtienne (PNH)Invité comme chaque mardi sur l’antenne de RFI, notre confrère Gotson Pierre, directeur de l’agence Alterpresse, fait le point sur les différentes interventions menées par les forces de l’ordre. La PNH tente de regagner du terrain face aux groupes armés dans la zone de Port-au-Prince ainsi que dans le département rural de l’Artibonite.Gotson Pierre relève par ailleurs qu’en matière de transition politique, la Caricom, l’organisation régionale des pays de la Caraïbe, hausse le ton et s’inquiète en particulier du comportement des trois membres du Conseil présidentiel de transition accusés de corruption. Une réunion sur ce thème s’est tenue hier entre les représentants de la Caricom et les signataires de l’accord du 3-Avril, qui a instauré le CPT.Au Canada, des sapins de Noël de plus en plus près de la natureLe Québec est la province canadienne qui produit le plus de sapins de Noël : un tiers de la production québécoise finit d’ailleurs sa course dans les foyers du nord des États-Unis au moment des fêtes de fin d’année. Et s’il est possible pour les Québécois d’aller acheter leur arbre dans les magasins de bricolage ou auprès de certaines associations, les consommateurs se rendent de plus en plus souvent sur les lieux de plantation. Manière pour les familles canadiennes d’aller trouver elles-mêmes le sapin qui prendra place dans leur maison pour Noël. Reportage de notre correspondante Pascale Guéricolas à réécouter dans son intégralité dans l’édition du jour.L’actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreAprès le passage dévastateur du cyclone Chido à Mayotte, la communauté mahoraise des Antilles vit dans l’angoisse depuis quatre jours.

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