Il y a 50 ans, le 17 janvier 1975, la loi Veil est promulguée, dépénalisant l’interruption volontaire de grossesse. Simone Veil, alors ministre de la santé, marque les esprits avec un discours historique, rappelant que “aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. C’est toujours un drame.” Cinq décennies plus tard, l’IVG a progressé dans la société française, avec une meilleure protection dans la loi mais aussi des difficultés qui viennent entraver, dans les faits, la liberté d’exercer ce droit. Claudine Monteil, plus jeune signataire du manifeste des 343, raconte les années de combat qui ont mené à l’adoption de la loi, et l’avocate Damia Taharraoui explique la poursuite de la lutte pour garantir un accès sûr et gratuit pour toutes les femmes européennes.
Il y a 50 ans, le 17 janvier 1975, la loi Veil est promulguée, dépénalisant l’interruption volontaire de grossesse. Simone Veil, alors ministre de la santé, marque les esprits avec un discours historique, rappelant que “aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. C’est toujours un drame.” Cinq décennies plus tard, l’IVG a progressé dans la société française, avec une meilleure protection dans la loi mais aussi des difficultés qui viennent entraver, dans les faits, la liberté d’exercer ce droit. Claudine Monteil, plus jeune signataire du manifeste des 343, raconte les années de combat qui ont mené à l’adoption de la loi, et l’avocate Damia Taharraoui explique la poursuite de la lutte pour garantir un accès sûr et gratuit pour toutes les femmes européennes.
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