Jean-Bertrand Aristide: bourreau d’hier, donneur de leçon d’aujourd’hui !

Jean-Bertrand Aristide: bourreau d’hier, donneur de leçon d’aujourd’hui !

La récente sortie du leader charismatique de Fanmi Lavalas, Jean-Bertrand Aristide, lors d’une cérémonie de collation de diplôme à l’Université qui porte son nom (UNIFA), laisse supposer, jusqu’à ce qu’un diagnostic médical viendrait dire le contraire, que ce dernier souffre de la schizophrénie.


Jean-Bertrand Aristide, promoteur du ‘’Pè Lebrun’’. Jean-Bertrand Aristide, accusé par d’anciens proches d’être l’auteur intellectuel d’assassinat de Jean Léopold Dominique, de Brignol Lindor, de Jacques Roche entre autres. Jean-Bertrand Aristide pointé du doigt comme distributeur d’armes à feu dans les ghettos pour tenter de sauver son quinquennat en 2004, réclame aujourd’hui justice pour des ‘’centaines de victimes du massacre de La Saline’’. 

De deux choses l’une : soit l’homme fort de Fanmi Lavalas a ‘’l’esprit cassé en deux’’, donc schizophrène, soit il se fout de la gueule des Haïtiens, enfants du bon Dieu qu’il prend pour des canards sauvages.

Poussant à son comble l’indécence et l’irrespect, l’ancien président qui s’est révélé politiquement faible lors des dernières élections, mêle sa voix diabolique à celle des PetroChallengers pour demander : Kote Kob PetroCaribe a? C’est à la fois triste et marrant. 

Surtout dans le domaine de la politique, il est plus facile de demander aux autres de balayer devant leur porte que de faire le ménage chez soi. 

Ceux qui n’ont pas la mémoire courte comme Jean-Bertrand Aristide pourraient lui demander : Kote lajan TELECO a? Kote lajan kowoperativ yo? Kote lajan ONA a? Kote lajan APN nan?

Jean-Bertrand Aristide qui tente de diaboliser l’actuelle équipe au pouvoir n’a pas su faire mieux alors qu’il avait l’appui de centaines de milliers d’Haïtiens.

Bourreau d’hier, aujourd’hui le leader à vie de la prétendue organisation politique démocratique (Fanmi Lavalas), s’érige en donneur de leçon, en objecteur de conscience. Tentative vaine puisque le mal que Jean-Bertrand Aristide a fait à ce pays reste profondément incurable.

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