En attendant que la justice dise le dernier mot sur le dossier “La Saline” qualifié de “massacre d’État”, le président de la République, Jovenel Moïse, peut se vanter d’avoir les “mains propres”.
Certains s’empresseront de dire: et l’affaire PetroCaribe ? Là encore, l’occupant du Palais national peut faire valoir “sa couleur de neige”, puisque le Procès tant souhaité n’a pas encore eu lieu.
Sincérité feinte ou double jeu, Jovenel Moïse ne rate jamais l’occasion de dire, à qui veut bien l’entendre : “je ne répondrai pas à la violence par la violence”.
Depuis le début de la crise, l’évangile du 58ème locataire du Palais national a toujours été le “Dialogue”.
En fait, les États-Unis d’Amérique, alliés sûrs de Jovenel Moïse, prêchent le même évangile et s’attardent au même chapitre : Mise en place d’un Gouvernement inclusif.
Pourtant, la réalité de l’opposition est tout autre: refus de dialoguer avec Jovenel Moïse, prise du pouvoir sans passer par les élections, incitation à la violence à peine voilée…
Autant de pratiques qui ne font que repousser la Communauté internationale, notamment les États-Unis.
Que l’on ne s’y méprenne pas ! Les techniques macabres et déloyales utilisées par l’opposition pourraient, éventuellement, provoquer l’échec du Pouvoir en place. Mais en attendant, Jovenel Moïse poursuit ses “réformes” auxquelles il est attaché, à l’ombre du tout-puissant Oncle Sam.
Quand l’opposition opte pour la violence, les États-Unis d’Amérique se cramponnent à Jovenel Moïse. Pour l’heure, c’est un fait!
Et, la République étoilée est d’autant plus proche de JoMo qu’elle se serait déjà engagée, dans l’ombre, dans des discussions avec certaines grandes figures de l’opposition, appelées à siéger à la Primature.
Là-dessus, Jovenel Moïse dirait: suivez mon regard !
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