Avec le soutien de la Banque mondiale(BM) et la Banque interaméricaine de développement (BID), le Service national semencier (SNS) va doter d’un laboratoire bien equipé, dans le cadre d’un partenariat visant à structurer les institutions publiques.
Selon le ministre de l’Agriculture, des Ressources naturelles et du Développement rural (MARNDR), l’ingénieur-agronome Jobert C. Angrand, en visite ce mardi au Laboratoire Tamarinier, dans l’idée d’augmenter la production nationale prônée par l’administration Moïse/Lafontant, il est nécessaire de doter le pays d’un organe pouvant charger de controler les semences avant d’être distribuées aux agricultrices et agriculteurs. Ce laboratoire sera sous le contrôle du Service national semencier (SNS).
Ainsi, le financement accordé par les bailleurs de fonds sera géré, dans le cadre de ce partenariat, par le projet RESEPAG (Renforcement des services publics agricoles).
Selon les informations rapportées par le coordonnateur du RESEPAG, Hermann Yves Augustin, un financement de deux millions de dollars USD sont accordés par la BID et la BM pour permettre de construire le bâtiment administratif et celui du laboratoire du SNS qui sera logé dans l’espace du laboratoire Tamarinier.