Alors que les nouveaux membres du Conseil Électoral Provisoire mis en place par le président Jovenel Moïse sont contestés par les partis de l’opposition et divers secteurs qui ont exprimé leur refus de désigner un représentant au sein de cette structure électorale, James Jacques prend sa défense.
L’ancien candidat à la députation de la 2e Circonscription de Port-au-Prince, rejette toute idée faisant croire que le conseil électoral provisoire installé est aux antipodes des prescrits constitutionnels. Le militant politique, qui s’est confié à Juno7,
https://www.juno7.ht/james-jacques-defend-la-legalite-du-cep/ a brandi l’article 289-2 de la constitution de 1987 amendée pour défendre sa position.
James Jacques, réagissant sur des débats qui ont pris une orientation sérieuse autour du processus d’aboutir à la formation d’un nouveau CEP, soutient que l’exécutif peut choisir ou nommer n’importe quel secteur en cas d’absence ou refus des uns ou des autres. Selon M. Jacques, les conseillers électoraux ne sont pas nommés en dehors des normes constitutionnelles.
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