Après avoir été auditionné par le juge instructeur Rénor Régis, sur les accusations d’assassinat, d’incendie criminel, de destruction de biens publics et d’atteinte à la sûreté de l’État, dont il faisait l’objet, le policier Jean Pascal Alexandre a été libéré le 25 septembre dernier.
L’agent de la Brigade de Lutte Contre le Trafic Stupéfiant (BLTS), était autorisé à reprendre son travail. Cependant, l’l’Inspection Générale de la PoliceNnationale (IGPNH) n’a pas dit son dernier mot. C’est en ce sens que Jean Pascal Alexandre a constaté que ses matériels de travail sont encore confisqués par l’institution chargée d’enquêter sur les pratiques violentes de policier.
L’avocat de Jean Pascal Alexandre, Maître André Michel condamne le comportement affiché par les responsables de l’institution policière. L’avocat Militant invite l’IGPNH à restituer à Jean Pascal Alexandre son badge et son arme de service. André Michel a par ailleurs dénoncé les persécutions politiques dont fait l’objet l’agent de la BLTS.
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