Tout en s’indignant de cet acte crapuleux, RENAMEL a encouragé les travailleurs de la presse à la prudence. Surtout dans le contexte lié à la montée en puissance de l’insécurité.

En outre, les responsables de cette structure en ont profité pour rappeler aux autorités étatiques leurs responsabilités à garantir la sécurité des citoyens.

« La vie est un droit sacré, l’État doit obligatoirement prendre des mesures pouvant protéger ce droit. Le droit à la vie ne peut pas être laissé aux mains des groupes armés qui décident de qui doit vivre ou mourir. Des mesures drastiques sont nécessaires pour sauver la vie en Haïti », mentionne la note.