Quelques heures après la décision prise par le juge des référés en faveur de l’homme d’affaires, Réginald Boulos, le directeur général de l’ULCC, Hans Jacques Ludwig Joseph a dit prendre acte de cette ordonnance faisant fi des dispositions claires et non équivoques du décret 8 septembre 2004 portant création de l’ULCC.
Le directeur général de l’Unité de Lutte Contre la Corruption en a profité de l’occasion pour informer la population qu’il fera opposition contre cette surprenante décision issue d’une interprétation superficielle et erronée.
Le DG de l’ULCC a fait savoir que, suite à cette décision du tribunal des référés, sa détermination à assainir l’administration publique gangrenée par les méfaits de la corruption est renforcée.