En effet, des artisans s’insurgent contre l’effritement prononcé de certaines traditions notamment celle relative à la montée des cerfs-volants lors de la saison pascale.

Selon eux, l’insécurité, la crise économique aiguë et l’accessibilité des enfants à des jeux de simulation et aux réseaux sociaux, expliquent le peu d’intérêt accordé à certaines pratiques culturelles.
 
« Les gens achètent très peu de cerfs-volants », se plaignent des fabricants, tout en soulignant le caractère récréatif et artistique de ce jouet.
 
Ils invitent les instances concernées à faire la promotion pour certaines activités socio-culturelles qui tendent à disparaître des traditions, arguant qu’elles peuvent contribuer au progrès économique.