Sa thèse doctorale qui contient 208 pages est intitulée : “THE EFFECTS OF BROADCASTING ON HAITI’S POPULATION AND DEVELOPMENT: An analysis of the impact of local radio stations in the capital and its surroundings”.

« Je voudrais utiliser les médias pour éduquer la population, pour former les masses. Comme vous le savez, Haïti fait face à de graves problèmes d’insécurité à cause des gangs. Beaucoup de jeunes en font partie parce qu’ils ne sont pas éduqués. Mon rêve, c’est de résoudre ce problème par l’éducation, car l’éducation est la clé de l’avenir », a déclaré Joël Lorquet lors de sa prise de parole au cours d’une cérémonie organisée au terme de la soutenance.

En outre, il a ajouté devant une assistance composée d’environ 200 étudiants dans différentes disciplines et en provenance de 65 pays du monde, qu’un doctorat n’est que la rédaction d’une thèse suivie de sa soutenance devant un jury. Rien de plus. Ce travail de recherche exige la ténacité, la persévérance et de la concentration. « Cela ne veut pas dire qu’on est le Pic de la Mirandole pour autant ; ce n’est simplement que le franchissement d’une étape académique », a-t-il soutenu.

Joël Lorquet, est également détenteur d’une maîtrise de la Faculté d’Ethnologie, Université d’Etat d’Haïti, Département des sciences du développement (DSD), (1999-2001). Il est licencié ès Communication sociale (décembre 1999), Faculté des sciences humaines, section Communication collective.

Ce dernier poursuit ses études en vue de l’obtention d’un autre doctorat (Ph.D.) en Gestion des systèmes éducatifs (sciences de l’éducation) à l’Institut des Sciences, des Technologies et des Etudes Avancées d’Haïti (ISTEAH) depuis 2017.

Il encourage les jeunes à suivre cet exemple, car, selon lui, l’éducation c’est le seul outil qui peut sortir Haïti de l’ornière du sous-développement et de l’enfer du banditisme.