Les démarches de l’administration américaine n’ont toujours pas apporté les résultats escomptés, alors que la situation se détériore en Haïti. Aucun pays n’est encore d’avis pour prendre la tête d’une telle mission, dans un contexte sociopolitique assez complexe.

Selon le journal floridien, cette force pourrait fournir un “soutien à court terme” à la Police nationale haïtienne en sécurisant un nombre limité de sites d’infrastructures critiques à Port-au-Prince, tels que l’aéroport et les ports. Ce qui permettra aux policiers de se concentrer sur la lutte contre les gangs.

« A Nassau, la vice-présidente réitèrera le soutien de notre administration à une force multinationale en Haïti », a déclaré un haut responsable de l’administration au Miami Herald. « Nous avons clairement indiqué que nous pensons que la situation sécuritaire et humanitaire en Haïti se détériore et que la situation sur le terrain ne s’améliorera pas sans l’aide de sécurité armée des partenaires internationaux. »