Les bouquinistes expriment leur mécontentement envers les autorités, à l’approche de la rentrée scolaire prévue pour le 11 septembre. Les affaires de ces petits détaillants sont en berne en raison des difficultés rencontrées par les parents pour préparer la rentrée de leurs enfants.
“Très peu de gens ont déjà préparé leurs enfants pour cette occasion”, font savoir les bouquinistes, soulignant que les responsables des écoles ont ajouté à leur fardeau en imposant l’achat d’uniformes et de fournitures scolaires exclusivement auprès de leurs établissements.
Ils ne cachent pas leur frustration envers les responsables, critiquant vivement leur décision de subventionner les fournitures scolaires sans tenir compte des conséquences pour les petits commerçants.
Les importants frais engagés pour soutenir ce programme n’ont pas eu les retombées escomptées pour les bouquinistes, aggravant ainsi leur situation déjà précaire.
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