La structure Nou Pap Konplis a indiqué avoir pris note de la résolution 2699 adoptée le 2 octobre 2023, lors d’une réunion spéciale du Conseil de Sécurité des Nations Unies autorisant l’envoi d’une force multinationale en Haïti.
L’organisation s’est montrée très hésitante concernant l’arrivée de cette force multinationale qui aura à sa tête le Kenya qui fait face à des multiples controverses. Des forces de l’ordre kényanes sont accusées de violation des droits humains. Des récentes manifestations qui ont eu lieu contre la cherté de la vie dans le pays ont fait une cinquantaine de morts en seulement 6 mois à cause de la brutalité policière.
Par ailleurs, la structure garde en souvenir les mauvaises expériences avec les casques bleus de l’ONU en Haïti de 2004 à 2017 à travers la Minustah, ayant introduit le choléra qui a causé la mort en 2010 de plus de 10 000 personnes. Nou Pap Konplis n’entend pas donner carte blanche à cette mission multinationale
Nou Pap Konplis veut que le gouvernement d’Ariel Henry travaille avec les États membres de l’ONU, les organisations de défense des droits de l’homme et les citoyens afin d’exiger des paramètres clairs, obligatoires et exécutoires qui doivent détailler les mesures opérationnelles et de surveillance empêchant l’usage illégal de la force, la négligence qui peuvent causer des dommages aux populations civiles et d’autres abus avant le déploiement de la mission multinationale de soutien à la sécurité dans le pays.
Rappelons que le gouvernement haïtien avait demandé, en octobre 2022, à la communauté internationale l’intervention d’une force spéciale en soutien à la police pour combattre les gangs qui contrôlent la quasi-totalité du territoire.
La structure « Nou Pap Konplis » très prudente par rapport à l’envoi d’une force multinationale en Haïti
La structure Nou Pap Konplis a indiqué avoir pris note de la résolution 2699 adoptée le 2 octobre 2023, lors d’une réunion spéciale du Conseil de Sécurité des Nations Unies autorisant l’envoi d’une force multinationale en Haïti.
L’organisation s’est montrée très hésitante concernant l’arrivée de cette force multinationale qui aura à sa tête le Kenya qui fait face à des multiples controverses. Des forces de l’ordre kényanes sont accusées de violation des droits humains. Des récentes manifestations qui ont eu lieu contre la cherté de la vie dans le pays ont fait une cinquantaine de morts en seulement 6 mois à cause de la brutalité policière.
Par ailleurs, la structure garde en souvenir les mauvaises expériences avec les casques bleus de l’ONU en Haïti de 2004 à 2017 à travers la Minustah, ayant introduit le choléra qui a causé la mort en 2010 de plus de 10 000 personnes. Nou Pap Konplis n’entend pas donner carte blanche à cette mission multinationale
Nou Pap Konplis veut que le gouvernement d’Ariel Henry travaille avec les États membres de l’ONU, les organisations de défense des droits de l’homme et les citoyens afin d’exiger des paramètres clairs, obligatoires et exécutoires qui doivent détailler les mesures opérationnelles et de surveillance empêchant l’usage illégal de la force, la négligence qui peuvent causer des dommages aux populations civiles et d’autres abus avant le déploiement de la mission multinationale de soutien à la sécurité dans le pays.
Rappelons que le gouvernement haïtien avait demandé, en octobre 2022, à la communauté internationale l’intervention d’une force spéciale en soutien à la police pour combattre les gangs qui contrôlent la quasi-totalité du territoire.