Presque cinquante ans que le café n’a pas été aussi cher: le cours de l’arabica a atteint un sommet mercredi 27 novembre, essentiellement en raison de craintes grandissantes sur la récolte au Brésil, premier producteur mondial, touché par une sécheresse historique et des semaines d’incendies. Les précisions de notre correspondante au Brésil, Louise Raulais.
Presque cinquante ans que le café n’a pas été aussi cher: le cours de l’arabica a atteint un sommet mercredi 27 novembre, essentiellement en raison de craintes grandissantes sur la récolte au Brésil, premier producteur mondial, touché par une sécheresse historique et des semaines d’incendies. Les précisions de notre correspondante au Brésil, Louise Raulais.
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