Leur mobilisation faisait écho aux événements de la veille, où le journaliste Jean Marc avait été victime de brutalités policières lors d’une manifestation. Ce dernier a reçu une bonbonne de gaz lacrymogènes en plein visage, tirée délibérément par un policier selon des témoins.

Les journalistes ont réclamé justice pour leur confrère, tout en dénonçant les agissements violents des forces de l’ordre.

Face à cette contestation, le porte-parole de la PNH, Garry Desrosiers, a été contraint d’annuler sa présentation à la conférence de presse. Préférant se rendre à l’hôpital général pour visiter le journaliste blessé, il a promis de transmettre les doléances des journalistes aux plus hauts échelons de la PNH.