Le bureau de l’Assemblée nationale a décidé, mercredi 9 octobre, de saisir la justice du cas de l’ex-ministre macroniste Aurore Bergé, accusée par des députés de gauche de « faux témoignage » pour avoir récusé devant une commission d’enquête tout lien personnel avec une lobbyiste des crèches privées, a-t-on appris de sources parlementaires. La « demande d’engagement de poursuites »
Le bureau de l’Assemblée nationale a décidé, mercredi 9 octobre, de saisir la justice du cas de l’ex-ministre macroniste Aurore Bergé, accusée par des députés de gauche de « faux témoignage » pour avoir récusé devant une commission d’enquête tout lien personnel avec une lobbyiste des crèches privées, a-t-on appris de sources parlementaires. La « demande d’engagement de poursuites » pénales contre Mme Bergé – aujourd’hui députée Ensemble pour la République – a été validée par dix voix « pour » et neuf voix « contre », lors d’un vote du bureau, instance exécutive dominée par la gauche, ont précisé ces sources.
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