La baisse du bénéfice net et des prévisions de croissance au sein de Stellantis après des années de croissance dynamique ont valu un rappel à l’ordre sec à Carlos Tavares, poussant le DG du groupe franco-italo-américain à la démission. En Allemagne, l’annonce par Volkswagen de la fermeture de trois de ses usines a entraîné un débrayage massif qui pourrait se prolonger. Ces événements sont le symptôme d’un secteur automobile européen qui a du mal à trouver un second souffle à l’heure de la transition des moteurs thermiques vers l’électrique.
La baisse du bénéfice net et des prévisions de croissance au sein de Stellantis après des années de croissance dynamique ont valu un rappel à l’ordre sec à Carlos Tavares, poussant le DG du groupe franco-italo-américain à la démission. En Allemagne, l’annonce par Volkswagen de la fermeture de trois de ses usines a entraîné un débrayage massif qui pourrait se prolonger. Ces événements sont le symptôme d’un secteur automobile européen qui a du mal à trouver un second souffle à l’heure de la transition des moteurs thermiques vers l’électrique.
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