Une nouvelle étude, menée par l’Université du Nouveau-Mexique aux Etats-Unis et publiée dans la revue Nature Medicine, met aujourd’hui en évidence une concentration inquiétante de ces particules dans le cerveau humain, bien supérieure à celle observée dans d’autres organes.
Une nouvelle étude, menée par l’Université du Nouveau-Mexique aux Etats-Unis et publiée dans la revue Nature Medicine, met aujourd’hui en évidence une concentration inquiétante de ces particules dans le cerveau humain, bien supérieure à celle observée dans d’autres organes.
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