Le procès du drame de la rue d’Aubagne s’est ouvert jeudi 7 novembre pour six semaines. Il doit permettre de comprendre comment, le 5 novembre 2018, deux immeubles du quartier Noailles de Marseille ont pu s’effondrer en quelques secondes, faisant huit morts. Ce drame est devenu le symbole du mal logement dans la cité phocéenne. Un fléau qui n’est pas encore éradiqué, malgré les efforts des pouvoirs publics.
Le procès du drame de la rue d’Aubagne s’est ouvert jeudi 7 novembre pour six semaines. Il doit permettre de comprendre comment, le 5 novembre 2018, deux immeubles du quartier Noailles de Marseille ont pu s’effondrer en quelques secondes, faisant huit morts. Ce drame est devenu le symbole du mal logement dans la cité phocéenne. Un fléau qui n’est pas encore éradiqué, malgré les efforts des pouvoirs publics.
Laisser un commentaire
Votre adresse électronique ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués d'un *