La Cour constitutionnelle sud-coréenne tient, lundi, une première réunion pour discuter du calendrier de la procédure de destitution de Yoon Suk-yeol, sanctionné pour son éphémère loi martiale. Les juges ont six mois pour se prononcer. Le même jour, le chef du parti au pouvoir en Corée du Sud a annoncé sa démission.
La Cour constitutionnelle sud-coréenne tient, lundi, une première réunion pour discuter du calendrier de la procédure de destitution de Yoon Suk-yeol, sanctionné pour son éphémère loi martiale. Les juges ont six mois pour se prononcer. Le même jour, le chef du parti au pouvoir en Corée du Sud a annoncé sa démission.
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