Des instances juives appellent le président français à conditionner la reconnaissance d’un Etat palestinien à la libération des otages et au démantèlement du Hamas Des représentants des instances juives et des artistes, des intellectuels ou des entrepreneurs appellent Emmanuel Macron à conditionner la reconnaissance d’un Etat palestinien « à la libération des otages et au démantèlement du Hamas »,
Des instances juives appellent le président français à conditionner la reconnaissance d’un Etat palestinien à la libération des otages et au démantèlement du Hamas
Des représentants des instances juives et des artistes, des intellectuels ou des entrepreneurs appellent Emmanuel Macron à conditionner la reconnaissance d’un Etat palestinien « à la libération des otages et au démantèlement du Hamas », dans une lettre ouverte publiée vendredi par Le Figaro.
« C’est à ce prix, et à ce prix seulement, que ce geste peut contribuer à la paix. Ce serait sinon une capitulation morale face au terrorisme », affirme cette lettre signée par le président du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), Yonathan Arfi, le président du Consistoire central, Elie Korchia, le grand rabbin de France, Haïm Korsia, et le président du FSJU (Fonds social juif unifié), Ariel Goldmann.
Alors qu’Emmanuel Macron s’apprête à reconnaître un Etat palestinien lundi à l’Assemblée générale des Nations unies, les signataires l’appellent « solennellement » à affirmer « avec la même fermeté que cette reconnaissance ne prendra effet qu’après la libération des otages et le démantèlement du Hamas ». Sinon cette reconnaissance « n’aidera ni les civils palestiniens ni à la libération des otages », estiment les signataires, qui appellent « de toutes [leurs] forces à la paix au Proche-Orient ».
Parmi les signataires se trouvent également, entre autres, les comédiens Yvan Attal, Charlotte Gainsbourg et Philippe Torreton, les philosophes Bernard-Henri Lévy et Raphaël Enthoven, l’animateur Arthur, le directeur de la Fondation pour l’innovation politique, Dominique Reynié, l’économiste Alain Minc et le dessinateur Joann Sfar.
Leave a Comment
Your email address will not be published. Required fields are marked with *