En direct, gouvernement Barnier : les propos de Bruno Retailleau en faveur d’un référendum sur l’immigration dénoncés par la gauche et salués par le RN

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Fonds publics européens : le procès de Marine Le Pen, du RN et de 24 autres personnes s’ouvre lundi à Paris Barbancourt le rhum des connaisseurs Le procès de Marine Le Pen, de 24 autres personnes et du Rassemblement national, soupçonnés d’avoir détourné des fonds du Parlement européen pour payer des salariés du parti, s’ouvre lundi devant le tribunal correctionnel

Fonds publics européens : le procès de Marine Le Pen, du RN et de 24 autres personnes s’ouvre lundi à Paris

Barbancourt

le rhum des connaisseurs

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Le procès de Marine Le Pen, de 24 autres personnes et du Rassemblement national, soupçonnés d’avoir détourné des fonds du Parlement européen pour payer des salariés du parti, s’ouvre lundi devant le tribunal correctionnel de Paris. Vont comparaître neuf anciens eurodéputés du Front national (rebaptisé RN), dont Marine Le Pen, Louis Aliot, aujourd’hui vice-président du RN, l’ex-numéro 2 du parti Bruno Gollnisch, ou encore le député et porte-parole du RN Julien Odoul.

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A leurs côtés, 12 personnes ayant été leurs assistants parlementaires et quatre collaborateurs du parti seront aussi jugées dans ce procès prévu trois demi-journées par semaine jusqu’au 27 novembre.

La cheffe de file du RN a fait savoir qu’elle comptait se rendre autant que possible face aux juges, mais, mardi, elle pourrait privilégier la déclaration de politique générale du nouveau premier ministre, Michel Barnier, à l’Assemblée nationale. « Marine Le Pen a choisi d’être très présente dans ce procès. Certains disent “elle va se cacher, elle ne viendra pas”. Non, pas du tout. Ce n’est pas le genre de la maison », a assuré dimanche sur RTL le député RN Sébastien Chenu, promettant que la présidente du groupe d’extrême droite à l’Assemblée avancerait « un certain nombre de nouveaux éléments ».

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L’affaire a débuté en 2015 par un signalement du président du Parlement européen, Martin Schulz, et concerne de très nombreux contrats d’attachés parlementaires sur une période de plus de dix ans (2004-2016). Pour l’accusation, ces « assistants », bien en peine de décrire leurs tâches, n’en avaient que le titre. Certains n’avaient jamais même rencontré leur employeur officiel ou mis les pieds au Parlement et ne travaillaient, selon l’accusation, que pour le parti – ce qui est interdit dans la réglementation européenne.

La plupart des prévenus contestent en bloc, évoquant une « mutualisation » du travail des assistants parlementaires. Le RN dénonce depuis des années un « acharnement », voire une procédure « politique ».

jean
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