Gisèle Pelicot, victime principale au procès des viols de Mazan, a déclaré jeudi 19 décembre qu’elle “respectait” le verdict de la cour criminelle de Vaucluse, alors que les peines ont été critiquées comme trop douces, notamment par plusieurs mouvements féministes. Elle a également déclaré penser “à ses enfants, ses petits-enfants” et “aux victimes non reconnues” de violences sexuelles.
Gisèle Pelicot, victime principale au procès des viols de Mazan, a déclaré jeudi 19 décembre qu’elle “respectait” le verdict de la cour criminelle de Vaucluse, alors que les peines ont été critiquées comme trop douces, notamment par plusieurs mouvements féministes. Elle a également déclaré penser “à ses enfants, ses petits-enfants” et “aux victimes non reconnues” de violences sexuelles.
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