Le Président Emmanuel Macron a évoqué la situation en Haïti à l’issue du sommet UE-CELAC qui s’est tenu à Bruxelles cette semaine et s’aligne du côté de l’ONU qui peine à trouver la meilleure formule pour aborder la crise haïtienne.
Barbancourt
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« Nous soutenons à la fois l’engagement des Nations Unies tel que demandé par Haïti et des initiatives régionales pour faire face d’abord à la situation sécuritaire mais également humanitaire et économique en Haïti », a déclaré le chef d’Etat français, qui confirme avoir rencontré le Premier ministre Ariel Henry.
La demande formulée par le gouvernement en octobre 2022 en faveur du déploiement en Haïti d’une force multinationale n’a toujours pas obtenu une réponse positive du Conseil de sécurité de l’ONU qui multiplie les rencontres autour de la crise haïtienne.
Dans sa dernière résolution, le Conseil de sécurité a accordé un délai de 30 jours au secrétaire général António Guterres pour produire son rapport sur la meilleure proposition concernant le déploiement d’une éventuelle force en Haïti.
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