Pendant deux mois et demi, la cour criminelle du Vaucluse a examiné la situation des 51 violeurs présumés de Gisèle Pelicot. Alors qu’elle s’apprête à rendre son verdict jeudi, plusieurs zones d’ombres persistent, par manque de preuves ou à cause de témoignages contradictoires.
Pendant deux mois et demi, la cour criminelle du Vaucluse a examiné la situation des 51 violeurs présumés de Gisèle Pelicot. Alors qu’elle s’apprête à rendre son verdict jeudi, plusieurs zones d’ombres persistent, par manque de preuves ou à cause de témoignages contradictoires.
Articles similaires
Laisser un commentaire
Votre adresse électronique ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués d'un *