« Joker » : comment la couleur peut transformer radicalement un film

« Joker » : comment la couleur peut transformer radicalement un film

Barbancourt le rhum des connaisseurs Le Joker a fait son retour au cinéma le 2 octobre. Avec ses contrastes orange et bleus, des néons verts, une Gotham verdâtre… le premier volet sorti en 2019 avait déjà marqué par son utilisation poussée de la couleur. Ce travail avait valu au film une nomination à l’Oscar de la meilleure photographie.

Barbancourt

le rhum des connaisseurs

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Le Joker a fait son retour au cinéma le 2 octobre. Avec ses contrastes orange et bleus, des néons verts, une Gotham verdâtre… le premier volet sorti en 2019 avait déjà marqué par son utilisation poussée de la couleur. Ce travail avait valu au film une nomination à l’Oscar de la meilleure photographie. Joker : folie à deux poursuit cette exploration. A une époque où Hollywood s’emballe pour des images désaturées, les Joker de Todd Philipps font de la couleur un élément-clé de la narration : elle participe à raconter la complexité d’un personnage en lutte avec son identité.

Cet usage narratif de la couleur, le chef opérateur Vittorio Storaro (Apocalypse Now, Le Dernier Empereur) en a fait sa marque de fabrique tout au long de sa carrière. Son travail a inspiré une génération de directeurs de la photographie, parmi lesquels Lawrence Sher (Joker et Joker : folie à deux).

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Pour Le Monde, ces trois artistes du grand écran nous dévoilent leur vision, en vidéo.

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Fanny Zarifi
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