Jovenel Moïse plaide en faveur d’un Pacte social entre patrons et syndicats d’ouviers

Jovenel Moïse plaide en faveur d’un Pacte social entre patrons et syndicats d’ouviers

Le président Jovenel Moïse déplore que la question du salaire minimum soit une pomme de discorde entre patrons et syndicats d’ouvriers.

Le chef de l’État estime qu’il est grand temps de mettre fin au différends qui existe depuis trop longtemps entre le patronat et les syndicats d’ouviers.

Jovenel Moïse souhaite que les patrons et les syndicats d’ouviers se rencontrent pour poser les vrais problèmes du salaire minimum. Une rencontre qui doit déboucher sur la fixation d’un salaire minimum socialement soutenable et économiquement acceptable.

Le président Jovenel reconnaît que le salaire minimum de 350 gourdes n’est pas acceptable. Son augmentation va améliorer les conditions de vie des ouvriers et ouvrières dans les usines textiles.

Une rencontre programmée par les deux protagonistes doivent aboutir à une entente amicale afin que plus d’emplois soient créés dans les usines textiles.

Jovenel Moïse dit vouloir éviter la levée des boucliers dans les usines par des ouvriers qui réclament de meilleures conditions de travail et des avantages sociaux.

Dans le chemin de la paix et l’unité nationale

Le chef de l’État plaide en faveur de la signature d’un pacte pour l’emploi, de la croissance économique inclusive entre le gouvernement et le secteur privé des affaires.

Ce qui ne manqura, selon le chef de l’État, de faciliter la création de plusieurs emplois à travers le pays.

Le chef de l’État rappelle que fait tous nous faisons partie d’une nation et que nos intérêts sont communs.

Il plaide en faveur de la paix dans les entreprises, spécialement dans les usines textiles.

Par ailleurs, Jovenel Moïse invite le Premier ministre nommé, une fois que sa politique générale soit ratifiée, à se pencher sur la conclusion de ce pacte social entre les patrons et les syndicats d’ouviers.