« Haïti, terre de liberté et de courage, ne peut espérer un avenir meilleur sans la contribution de ses enfants, où qu’ils se trouvent », a déclaré la ministre, insistant sur l’urgence de renforcer les liens entre Haïti et sa diaspora. Elle a annoncé plusieurs priorités, dont la protection des biens des Haïtiens vivant à l’étranger, la création de mécanismes inclusifs pour leur participation à la prise de décisions nationales, et la valorisation de leurs compétences dans des secteurs clés comme l’éducation et la santé.

Elle a également appelé à l’unité nationale et à la solidarité. « La transformation d’Haïti ne peut se faire sans un environnement de paix et de sécurité. Nous devons raviver l’espoir et reconstruire la confiance », a-t-elle martelé.

Ce mandat, qu’elle qualifie de « devoir de citoyen et de patriote », sera guidé par la collaboration avec la diaspora et les institutions nationales pour planter les « graines d’unité et d’amour » indispensables à la refondation d’Haïti.

« Engageons-nous pour le bonheur du pays. Haïti a besoin de chacun de ses enfants », a-t-elle exhorté dans un contexte marqué par l’instabilité.