La Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif a accordé décharge pleine et entière à Madame Sophia St Rémy Martelly pour sa gestion à la tête de la Commission Présidentielle de lutte contre la faim et la malnutrition (COLFAM). La cour supérieure des comptes et du contentieux administratif a prouvé que l’ex-première dame a
La Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif a accordé décharge pleine et entière à Madame Sophia St Rémy Martelly pour sa gestion à la tête de la Commission Présidentielle de lutte contre la faim et la malnutrition (COLFAM).
La cour supérieure des comptes et du contentieux administratif a prouvé que l’ex-première dame a bien géré durant 24 mois mois les fonds et les moyens logistiques qui ont été mis à la disposition de la commission à travers le ministère de l’économie et des finances durant son mandat.
Cette commission qui a été composée d’une Présidente, d’un vice-président et d’un secrétaire d’État a été installée le 24 janvier 2012 à la suite d’un arrêté présidentiel paru dans le journal officiel Le Moniteur.
À travers cette commission l’ex-première dame gérait des programmes sociaux notamment Ti Manman Chérie, une décision qui a prise en conseil des ministres durant l’ancienne administration de Michel Joseph Martelly.
Rappelons qu’un second arrêté présidentiel daté du 15 juin 2012, du journal officiel Le Moniteur no.94 créant la commission d’Appui à la coordination des infrastructures de sports et d’accompagnement de la jeunesse Haïtienne (CACISAJH) a été dirigée par son fils aîné Olivier Martelly.