La présidente du Comité paralympique et sportif français, Marie-Amélie Le Fur, à Paris, le 26 juillet 2024. ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP Marie-Amélie Le Fur se prépare à une rentrée particulièrement chargée. La présidente du Comité paralympique et sportif français et de l’Agence nationale du sport – l’opérateur public chargé du haut niveau et du développement des pratiques

Marie-Amélie Le Fur se prépare à une rentrée particulièrement chargée. La présidente du Comité paralympique et sportif français et de l’Agence nationale du sport – l’opérateur public chargé du haut niveau et du développement des pratiques – supervise les derniers préparatifs de la troisième édition de la journée paralympique, samedi 6 septembre, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Un an après les Jeux de Paris 2024, Marie-Amélie Le Fur veut, outre la poursuite de l’acculturation du grand public aux parasports, « prendre le temps de célébrer les athlètes et revenir dans l’émotion des Jeux ».
Un an après, que reste-t-il des Jeux paralympiques ?
De nombreuses personnes se questionnent. Mais on ne peut pas dire que ces Jeux n’ont servi à rien, que tout est retombé. Nous le constatons en termes de notoriété des Jeux et des athlètes paralympiques. Nous avons une place dans le paysage médiatique plus importante qu’avant. Il y a aussi une évolution structurelle, un changement de modèle des fédérations sportives, des collectivités. Dans la stratégie de l’Etat, le réflexe est désormais pris de toujours penser à la singularité de la personne en situation de handicap.
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